La semaine dernière, j’aurais aimé souhaiter un bon anniversaire à notre attachant virus installé dans nos vies depuis 2 ans.
Comme un squatteur, sans nous demander notre avis, sans participer aux frais de chauffage, d’assurance ou d’électricité et décidant de changer d’identité tout aussitôt qu’il est démasqué pour trouver d’autres hébergements sous un autre patronyme.
Je vous laisse le soin de mesurer l’épopée des mois passés.
Celles des masques, inutiles, parce que nous n’en avions pas et surtout parce que le gouvernement n’a pas eu le courage de nous le dire. Cela aurait tout changé sur la suspicion qui s’est installée au fur et à mesure des avis définitifs qui devenaient fluctuants.
Personne ne peut reprocher aux acteurs de la santé de ne pas savoir d’un virus qui débarque d’on ne sait où, sans crier gare. Mais nous aurions préféré qu’il nous propose de faire ce chemin ensemble.
Désormais…