Citation la plus connue du philosophe star qu’était Descartes avec son best seller « Le discours de la méthode ».
Voilà pourquoi l’homme (et la femme cela va de soi) auraient un cerveau. Ils pensent.
Les scientifiques se penchent depuis longtemps sur le mystère du cerveau, organe le plus complexe du corps humain, insuffisamment connu, dont on sait néanmoins qu’il grandit puis rétrécit au fil du temps. On sait notamment que la matière grise atteint son plus haut niveau à la fin de l’enfance. Mais qu’en fait-on ? Je dois avouer que lorsque je lis qu’un trafiquant de drogue se fait attraper après la publication d’un selfie avec sa petite amie. Même si je trouve que c’est une bonne chose, je me dis que seule une partie de son cerveau était en éveil.
D’ailleurs notre environnement suscite-t-il l’entretien de notre cerveau ?Lorsque nous consultons certains sites, plateformes, ou espace personnel de services qui ont choisi de numériser le contact plutôt que de répondre au téléphone, je reste perplexe lorsque c’est à nous de nous justifier au regard de la machine. Attestez que vous n’êtes pas un robot nous oblige-t-elle. Et elle nous propose pour se faire, de repérer sur des images, des ponts, des passages cloutés, qu’il convient de compter et de cocher.Comment dire ? Je ne suis pas sure que nous soyons dans une phase de stimulation intellectuelle, et ça m’agace profondément.Quand même ! N’oublions pas que le cerveau gère nos émotions, notre sensibilité ou hypersensibilité. C’est important parce que trop de sensibilité suscite du stress. Elle mettrait en veille la fonction qui met en arrière plan les informations non pertinentes. Les hypersensibles ne trient pas automatiquement, c’est un joyeux bazar dans la tête, comme si on est à chaque fois obligé de trier à la main.Les émotions font pourtant partie de notre vie, elles lui donnent des couleurs, elles nous passent des messages. Cependant pour qu’elles ne nous submergent pas, nous pouvons aussi développer la théorie du hamster, qui décide de descendre de sa roue et prendre le recul nécessaire pour la regarder tourner.Cette deuxième séquence électorale essaie de nous enfermer dans un univers émotionnel. N’hésitons pas à jouer le hamster qui prend du recul, en se disant, je pense donc je suis.