Depuis presque 2 ans, chacun développe sa nostalgie de l’avant quand d’autres se mettent à rêver demain.
De là à se rapprocher de ce barbier vénitien dont la pancarte « demain on rase gratis » trônait chaque jour dans sa devanture, puisque le fameux lendemain n’était pas daté.Aujourd’hui, nous nous souvenons de nos habitudes, de nos rencontres quand nous en sommes réduits au virtuel de la visio, de nos déplacements désormais qualifiés de mobilité et qui ne deviennent réalité que s’ils sont voyages. Le télétravail s’installe dans nos vies sans être plébiscité, parce que les contacts, les vrais font partie des besoins des animaux sociaux que nous sommes. Donc…